Barrières biologiques
Surface délimitant les organes, jouant le double rôle de protection et d’échanges avec l’environnement. Dans ce projet, sont étudiées les barrières épithéliales cutanées (peau), épithéliales intestinales (intestin), épithéliales pulmonaires (poumon), hématoencéphalique (cerveau) et l’endothélium (vaisseaux sanguins).
Pour l’ensemble des pathologies chroniques inflammatoires, les barrières perdent de leurs fonctionnalités en étant poreuses (elles permettent le passage d’un plus grand nombre de molécules dont les toxines ou microorganismes pathogènes) et concentrent un plus grand nombre de molécules du stress et de l’inflammation.